Par Élizabeth Séguin
La radio de Fermont
La Ville de Fermont souhaite rappeler l’importance du civisme et du respect des installations publiques, alors que plusieurs gestes de vandalisme ont été constatés au cours des dernières semaines.
Parmi eux, des bris ont été observés sur le trampoline récemment installé, près des jeux d’eau, comme la directrice générale adjointe de la municipalité, Marie-Philippe Couture, le déplore :
Extrait – Marie-Philippe Couture – Bris du trampoline
Ces infrastructures ont pourtant été mises en place à la demande des citoyens, souligne Mme Couture, afin de répondre aux besoins de la communauté. Elle insiste donc sur la responsabilité collective de préserver ces équipements et endroits.
« Ce sont de beaux attraits, que les jeunes familles peuvent utiliser, comme les enfants, les adolescents. Tout le monde peut en profiter. Quand il y a des bris ou du vandalisme, c’est tout le monde qui paye », dénonce Marie-Philippe Couture.
Extrait – Marie Philippe Couture – C’est dommage
Ce n’est pas la première fois que des installations publiques sont la cible de comportements dégradants. Au fil des dernières années des situations sont survenues à répétition, pour n’en nommer que quelques-unes : le bris des affiches du parcours ludique du sentier Tour de ville, le bris des installations du sentier de lecture sur le mont Daviault, des actes de vandalisme dans des garages, des vols — dont de pneus et de matériel de pêche —, de même que des usages inappropriés sur la plateforme aquatique Wibit du chalet nautique et, plus récemment, le bris de la toile du trampoline géant.
Pour le moment, aucune mesure précise n’a été annoncée par la Ville, qui assure que la situation est suivie de près. Mme Couture invite les citoyens à faire preuve de vigilance et à rapporter toute situation préoccupante à la municipalité ou, dans les cas urgents, à la Sûreté du Québec. Cette dernière n’a pas répondu à la demande d’informations de CFMF à savoir si la surveillance a été rehaussée pour contrer les actes irrespectueux envers les infrastructures locales.
Entrevue complète avec Marie-Philippe Couture :
