Par Élizabeth Séguin
La radio de Fermont
Entretien avec l’artiste musicale Andréanne A. Malette, qui a présenté ce mois-ci son quatrième album en carrière, « Les jardins dérangés ».
Elle aborde la composition de l’œuvre, son inspiration, ses textes, ses arrangements. Le cheminement personnel de la dernière année d’Andréanne A. Malette lui a permis d’écrire sur des thèmes d’espoir, de bien-être, de lumière. Elle qualifie ses pièces comme intimes, personnelles, en partageant sa propre introspection avec son public.
« Les jardins dérangés, pour moi, c’est un peu un espèce de paix qu’on fait avec l’imperfection d’un jardin sauvage, qui pousse de même », déclare l’auteure-compositrice-interprète-productrice. « Plutôt que d’essayer de le tailler, on le laisse pousser comme ça pousse. Ça attire les papillons et on finit par trouver ça beau », ajoute-t-elle.
L’artiste confie que ses textes rejoignent plusieurs femmes dans la trentaine, qui peuvent s’identifier à l’ensemble de l’album.
En musique, une variété d’instruments est présente, dont des flûtes et des violons. Andréanne A. Malette a collaboré avec plusieurs artistes pour l’arrangement musical, pour apporter une touche de réalisme et de réconfort à la fois.
En plus de compositions originales, « Les jardins dérangés » inclut une douce reprise de la chanson « Le reste du temps » de Francis Cabrel, qui est en quelque sorte le point de départ de l’album.
Un nouvel extrait d’Andréanne A. Malette, tiré de « Les jardins dérangés » est joué présentement sur les radios au Québec, « L’horizon », qui est un message adressé à un futur amoureux, que l’artiste n’a pas encore trouvé sur son chemin.
Les jardins dérangés, ton album est disponible sur l’ensemble des plateformes numériques et en format physique en magasin et en ligne.